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Résumé :
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Les addictions sont multiples. Facilement stigmatisées si elles associent un produit transgessif ou défendu avec une marginalité sociale, elles passent plus inaperçues lorsqu'elles se nouent à une activité légitime (sport ou sexualité par exemple). Dans l'espace de travail, chez ceux qui sont intégrés, elles deviennent moins visibles et parfois insoupçonnables. Sont-elles pour autant sans risques individuel ou collectif, sans régulation nécessaire, sans interrogation sur le travail lui-même? Ce tabou concerne les soignants et les intervenants sociaux.
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