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Résumé :
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Les analystes rendent très rarement compte de cures dont auraient bénéficié des patients alcooliques. Des contre-attitudes vis-à-vis des problématiques de ces sujets, l'absence de théorisation des addictions alcooliques dans l'œuvre de Freud, en rapport avec les taches aveugles de celui-ci dans son auto-analyse, un mépris ou une incertitude quant à la nosographie, peuvent rendre compte de la désaffection dont souffrent ces patients qui, s'ils ne sont pas, en règle, de « bonnes» indications de la « cure type », n'ont guère suscité d'innovations et adaptations techniques.
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