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Résumé :
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Près d'un quart des patients adultes atteints du diabète de type 1 ne réussissent pas à contrôler de manière satisfaisante leur taux de glycémie, en partie à cause des problèmes liés à l'exigence des régimes d'auto-contrôle. Afin d'améliorer le contrôle du taux de glycémie, les interventions accompagnées d'une approche cognitive par le comportement qui avaient pour but de modifier les croyances de dysfonctionnement, de réduire les émotions négatives et de mettre en valeur les pratiques d'autosoins, sont des outils pontentiellement utiles. On connaît peu de choses sur une telle approche. Les résultats ont montré que les patients en hôpital de jour de 7 hôpitaux différents de la région d'Amsterdam, sélectionnés pour leur taux élevé de HbAlc et leur envie de participer, ont rapporté des degrés élevés de détresse psychologique et des symptômes de dépression. De plus, les comportements d'autosoins étaient considérés comme importants mais lourds. La connaissance de ses propres capacités chez les diabétiques était relativement basse. On a conclu que le groupe sélectionné d'adultes atteints du diabète de type 1 pourraient peut-être bénéficier d'un intervention cognitive par le comportement afin de réduire les émotions négatives, d'accroître la connaissance de ses propres capacités chez les diabétiques, le comportement d'autosoins et les résultats de glycémie.
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