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Résumé :
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A la fin des années 60, 28% des Français de plus de 15 ans déclaraient pratiquer une activité physioque ou un sport pour passer à 38% dans les années 80 avant d'atteindre 50% en 1994. La grande variabilité de l'âge des pratiquants, mais aussi l'essor de disciplines plus - sauvage- (comme les activités en pleine nature) montrent la nécessité d'une adaptation, voire d'une nouvelle oreintation des politiques du sport. Des actions d'animations ntionales, mais surtout locales, pertmettraient tout d'abord de répondre aux souhaits de la population mais aussi pourraient avoir comme objectif de diminuer la morbidité.
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